Allez, pour une fois, c'est à votre tour, les filles de vous faire plaisir
https://www.youtube.com/watch?v=JOChGOMpWBA
Haiku Location Stand Up Paddles 06 49 60 83 74
Ma petite entreprise Haiku sur Stella Plage (A côté du Touquet-62) à été créée pour vous permettre de découvrir ce fabuleux sport qu'est le Stand Up Paddle, mais aussi démocratiser les autres sports de glisse de randonnée,comme le kayak de mer, le surf, etc... Infos sur dates d'Ouverture de saison, tarifs, promo, événements sportifs..
vendredi 6 juin 2014
dimanche 5 janvier 2014
Ca surfe et ça innove dans le Pas de Calais !
Haiku vous présente ses meilleurs voeux pour 2014, de belles vagues, du glacis, pour le SUP c'est mieux, et de beaux projets dans votre vie..
Quelques surprises et cadeaux pour ce début d'année:
2014 commence sous le signe de la vague et de l'innovation: admirez Benjamin Deneuville, le premier nordiste à réussir à surfer sur un SUP équipé d'un foil !
Quelques surprises et cadeaux pour ce début d'année:
2014 commence sous le signe de la vague et de l'innovation: admirez Benjamin Deneuville, le premier nordiste à réussir à surfer sur un SUP équipé d'un foil !
Grosse météo sur la côte d'Opale depuis 15 jours, s'en suit une belle houle, que n'a pas manqué de figer le talentueux Olivier Caenen:
Paul Conrad lui aussi profite de la houle sur Merlimont le 4/01/2014:
Paul's way of life: SUP, mountain board, canaux de Lille, et Merlimont Beach:
dimanche 15 décembre 2013
Quelle taille de pale de SUP ?
D'abord il faut distinguer 4 choses:
1) le materiau (bois, carbone, fibre, alu, ou mix)
2) la discipline (race, balade ou vagues)
3) la taille du manche (+ 10, +20 + 30 cm de sa taille...)
4) la taille de la pale (8' pouces "S", 8,5' "M", 8,75' ou en cm2 653 cm2 etc)
Les précurseurs et références dans ce domaine ont comme toujours un regard avisé sur la technique et l'évolution de ce sport pour répondre à vos interrogations.
Quelle taille de pale de pagaie choisir?
Dave Shun boss de Kialoa:
"Je voudrais que les rameurs vérifient eux-même quelques notions importantes :
Après un long temps de rame, vous vous rendez compte que votre fréquence diminue. Vous aurez alors besoin soit d’une pale plus petite, soit d’un meilleur entrainement.
Si vous avez l’impression que votre pagaie traverse l’eau en faisant des bruits de turbulence, c’est que soit votre pale est trop petite, soit votre technique est insuffisante…
Ces deux situations montrent que la vitesse à laquelle avance votre planche est en effet en relation avec la surface de la pale, mais de façon INVERSE !
Inverse ?
Je m’explique :
Si votre planche a une vitesse de carène élevée, vous pouvez utiliser une grosse pale, grâce aux effets de l’inertie.
Dans le cas contraire, une pale plus petite est plus efficace.
Pour résumer, la taille de la pale ne vous fera pas aller PLUS VITE ! Une bonne technique de rame est beaucoup plus importante…"
Alors, comment choisir sa pagaie ?
Je pense qu’il serait plus malin de la choisir après une bonne heure de rame au moins. Si vous êtes explosé, c’est que la pale est trop grosse
Avez-vous des conseils techniques à nous donner ?
La phase de propulsion du coup de pagaie est duelle : douce et forte à la fois. La pale doit rester aussi immobile que possible pendant la phase de propulsion, ce qui veut dire que vos épaules doivent « verrouiller ». La puissance vient des hanches, des jambes, des muscles de gainage profonds (NdA : core muscles).
En Outrigger, quand j’ai trouvé ma position, mon grip est si fort que j’ai la sensation que je pourrais me tenir debout au sommet de ma pagaie sans pouvoir l’enfoncer dans l’eau
Kialoa est bien connu des SUPers pour ses pagaies « surf », mais peut-être avez-vous un modèle « race » en préparation ?
En effet, Chuck Patterson et moi avons juste commencé à travailler sur un prototype de pagaie « race », que nous testerons cet été. Sortie espérée fin 2010.
Le SUP est un sport vraiment nouveau, et les normes d’équipement restent à définir. D’ailleurs la distinction entre « surf » et « race » est un peu artificielle, car en réalité les pagaies fonctionnent dans les deux activités. Chuck a couru avec la Shaka Puu, il trouve la Nalu trop grosse, sauf pour le downwind."
http://u-ride.net/news-windsurf/interview-dave-chun-boss-de-kialoa.html
Selon Patrice Guénolé, Boss de GONG depuis 2008..
"Nous vous recommandons de choisir les tailles de vos pagaies suivant la charte de correspondance ci-dessous.
Voici quelques conseils complémentaires :
Généralement, un petit gabarit sera plus à l’aise dans la partie haute de la fourchette de la charte. L’inverse pour un grand.
Une pagaie plus courte par rapport à cette recommandation apporte plus de maniabilité en surf car elle permet de mettre plus d’angle à la planche dans les courbes et de réduire les rayons de courbes en raccourcissant la distance au point d’appuis.
Dans les vagues creuses, il faut rider des pagaies plus courtes pour réduire les rayons de virages, être plus proche de la paroi dans les tubes et pouvoir la manier plus vite et avec moins d’inertie.
Une pagaie courte demande plus de fréquence de rame mais épargne les épaules.
Une pagaie plus courte est aussi recommandée pour des planches plus courtes et moins épaisses que les planches de débutants. La fourchette donnée ci dessous est valable pour une planche de 12’ assez épaisse type NFA. Il faut retrancher environ 3 à 5 cm par pied en moins. Par exemple, un SUPer de 1.85 m ridera en 200 cm sur une 11’ à 12’, en 195 sur une 10’, en 190 sur une 9’, en 185 sur une petite planche inférieure à 8’. Il est donc fréquent de ramer avec une pagaie de longueur égale à sa taille lorsqu’on ride sur des planches très courtes et dans des vagues creuses.
La longueur de la pagaie est aussi liée au rapport taille du rider / largeur de la planche. Un petit a donc besoin d’une pagaie proportionnellement plus grande quand il utilise un SUP standard. Inverse pour un très grand qui diminuera la longueur de pagaie relative. En effet, plus on est grand et plus on peut ramer au dessus du rail. Le shaft est moins en X par rapport à la verticale et on a donc naturellement moins besoin de longueur. Un petit (ou quelqu’un qui utilise une planche très large) aura besoin de plus de longueur pour "faire le tour" de la planche car le shaft sera forcément en X. C’est par exemple ce que l’on constate quand on ride des planches très très courtes et larges. Comme elles sont courtes on a tendance à prendre une pagaie plus petite mais c’est sans compter avec la largeur qui impose de rester assez long.
Une pagaie courte est idéale pour les conditions ventées, surtout le on shore.
Une pagaie courte offre des parcours de voilure plus courts. Il faut donc ramer plus violemment. C’est très efficace sur de courtes distances mais dur pour le dos à la longue.
Une pagaie longue évite les coups dans les rails de la planche quand on débute.
Une pagaie longue fait moins mal au dos aux débutants car ils sont obligés de ramer avec une attitude bien droite. En revanche, s’ils vont chercher trop loin derrière en fin de mouvement, ils auront plus mal au dos... Rappelons qu’on rame du nose à ses talons, rarement derrière.
Une pagaie longue apporte des appuis forts et de la puissance au démarrage.
Une pagaie longue apporte de la stabilité car elle favorise des appuis longs et parce qu’elle est plus lourde.
Une pagaie longue force plus sur l’avant de l’épaule, les pectoraux, les portions hautes des trapèzes et donc la nuque. Veillez à ramer proprement et bien vous étirer et vous hydrater pour éviter les soucis. Pensez aussi à baisser les épaules quand vous ramez car avec une pagaie longue on a tendance à hausser les épaules et reporter les efforts sur la nuque.
Plus une pagaie est longue plus elle renforce le "row effect", donc plus il est difficile de ramer droit sans changer de main.
Il faut impérativement avoir plusieurs pagaies dans son quiver : pour palier à une casse et pour s’adapter aux conditions et économiser ses épaules.
La matière de la pagaie n’a pas ou peu d’influence sur la taille préconisée.
"A mon sens, l’avenir ne va pas que dans un sens. Bien au contraire, l’avenir est très multiple au sujet des pagaies.
Il faut en premier lieu qu’elle s’adapte au programme :
une pagaie de surf doit avoir une pale énorme et un shaft court et raide à la mort
une pagaie polyvalente aura moins de surface et un shape plus élancé
une pagaie de progression aura beaucoup de volume au regard de sa surface et un shaft très doux
une pagaie de LD sera hyper nerveuse avec une répartition du dynamisme dans le shaft très étudiée et un volume de voilure minimum au regard de sa surface qui elle sera généralement importante et liée au gabarit et surtout à la puissance physique du rider.
Aujourd’hui on me demande deux pagaies :
les gars qui SUPent depuis deux ans et plus en surf veulent des voilures de grande surface
les autres veulent le plus souvent une voilure très petite.
C’est un pur constat.
Dans ma découverte du SUP, j’ai eu les mêmes envies. En effet, la rame se construit, c’est quelque chose qui s’apprend et autour duquel notre corps s’adapte. Ca ne se fait donc pas en un jour.
Au début, on a besoin de surface pour trouver de l’équilibre par l’appuis. Ensuite on veut de la cadence pour aller plus vite sans forcer plus. Et après on veut de la puissance pure pour une réactivité maximale. (Tout ceci pour une pratique surf).
Cela correspond souvent à une évolution de la technique de rame en lien direct avec celle de surf, une modification des objectifs, et une évolution des performances physiques.
A ce sujet, on constate qu’en phase 1, celle de la découverte, les jambes et le haut du dos bossent fort. En phase deux, progression, on vérrouille tous les rotateurs. Le corps se fige contre la torsion (plus d’obliques, de fixateurs jambes/hanches/dos). En phase 3, le corps apprend a se délier à bon escient. On contracte juste ce qu’il faut quand il faut et le reste du corps est détendu pour aller chercher de l’extension. Ces phénomènes sont primordiaux dans l’analyse de la rame et donc le choix de la pagaie.
Physiquement, la phase 1 est celle des courbatures, du mal de nuque, des épaules douloureuses.
La phase 2 est celle de la barre dans le dos, des trucs bizarres dans le ventre et du mal de genoux.
La phase 3 suit une tension extreme du dos et des muscles postérieurs : les fesses en béton, les ischios, les mollets, la chaine des paravertébraux ultra tendus, etc... Tout ce qui retient le corps dans sa chute en avant à l’immersion de la pagaie est ultra sollicité en fin de phase 2. Il est temps de retrouver de l’appui pour aller chercher une extension complete et un équilibre dans les tensions entre les deux trajets de voilure : immergé et aérien. En effet, si on sait que l’appui à l’immersion va être franc, on pourra jeter le corps en avant avec moins de retenue. Du coup on pourra aller chercher plus loin devant et tirer plus loin derrière.
Du point de vue de la technique de rame :
la phase 1 est celle des essais/erreurs. Tout est bon pour s’en sortir.
la phase 2 est celle du trajet court. On va chercher moins loin et on sort plus tôt (aux pieds en général). On augmente la cadence de rame. On fait beaucoup de choses dans un espace/temps réduit. L’équilibre est meilleur et on gagne en vivacité.
la phase 3 est celle où on gomme les repères pour chercher plus de performances. On augmente fortement les trajets, on ralentit les passages immergés, on focalise sur l’accélération. C’est une phase où on se crée des réserves de vitesse et de puissance. Les phases 1 et 2 sont acquises, donc à tout moment on revient sur ces savoirs anciens pour s’adapter. En cas de fatigue par exemple, on va revenir sur une technique de phase 2, voir 1.
Rien n’est figé. Il faut suivre cette évolution globale du corps, de la technique et du quiver.
La phase 4 :
C’est celle qui nous rapproche de l’eau vive.
Sur un SUP de 5’, hors de question de ramer comme sur une 8’. Il y a un monde entre les deux, tout comme en surf classique.
Physiquement, l’effort est énorme. Les appuis sont à la fois fermes et dosés. Les vérrouillages rotatifs sont extremes. La phase de rame est d’une complexité folle et donc génératrice de fortes tensions qui doivent instantanément s’effacer dès le take off.
La technique de la phase 4 est d’une précision extreme et utilise TOUTES les techniques en même temps. On rame en ligne, en S, en C, à 45°, très immergé, très court ou très long selon... C’est très complexe mais ça marche.
Peu de gens sont arrivés à cette phase.
Pour conclure, je voudrais dire que mon rôle de précurseur est de baliser le chemin de ceux qui entrent dans ce sport puis de les accompagner au mieux, simplement en leur disant ce que nous avons rencontré dans notre découverte de ce sport magnifique. Chacun fait selon ses feelings et se construit son surf.
Il n’y a aucune règle, juste de l’adaptation à une évolution du sport et de chacun.
PS : les longueurs de pagaies :
Certains essayent en vain de démontrer des règles de calcul imparables. Je voudrais dire que c’est viable à condition de l’adapter aux 4 phases citées ci dessus.
En effet, on constate que dans la phase 1 les gens rament mieux long et lourd.
Dans la phase 2, ils rament un peu plus court et beaucoup plus light.
Dans la phase 3, ils rament très court et moins light.
Dans la phase 4, ils rament un peu plus long que dans les extremes de la phase 3, plus light et moins raide.
En conclusion de la conclusion, mon sentiment est que seul un quiver permet une progression rapide et optimale. C’est mon job de dire cela mais c’est avant tout mon constat de SUPeur." L’Ours
La réponse de l’Ours :
"Plus ta pagaie est courte, plus tes courbes sont serrées. Donc en fonction de ce que tu veux faire, tu adaptes la taille de ta pagaie.
Par exemple, si une planche peut tourner très court et que tu rides avec une pagaie "longue" tu vas être géné. Tu auras l’impression de rentrer dans la pagaie dans les bottoms, de devoir trop la lever pour les rollers etc... En plus, tu vas être obligé de mettre voilure très en arrière de toi pour compenser et tu auras du coup des appuis très en arrière d’où des cabrages intempestifs et un manque de vitesse et d’accélération ! pas glop et pas facile à comprendre seul sur un spot.
Autre exemple, si tu as une pagaie trop courte sur un planche longue, tu auras sans cesse l’impression de tomber dans le bottom, tu appuieras trop sur la voilure, tu vas rater tes rollers en ne prenant pas assez d’eau. En plus la planche ne suivra pas le rythme que demande la pagaie.
Autre élément important, la gestion de la trim line. Généralement, avec une grande planche on est assez bas dans la vague, donc plus loin d’elle, donc on a besoin d’une pagaie plus longue pour la caler dans la face. Avec une planche plus courte c’est l’inverse, on est plus haut dans la vague ou plus serré dans les courbes donc on a besoin d’une pagaie courte pour ne pas être débordé par la pagaie et surtout ne pas se mettre en descente dès qu’on se pose sur la voilure.
Les conditions du jour peuvent aussi vous imposer une pagaie de taille spécifique. Une vague dans laquelle il faut sans cesse relancer sera mieux ridée avec une pagaie courte car on va chercher à rester haut dans la vague. Une vague tubulaire demande une pagaie très courte pour pouvoir se caler dedans avec tout ce bazar en gardant une trajectoire libre et haute.
Dans des vagues longues et molles, une pagaie plus longue fera la différence en amplifiant vos courbes et en vous permettant des appuis forts et souples.
Il faut vraiment penser les pagaies comme les planches !
Une pagaie courte est un shortboard. Une pagaie longue est un longboard. Si vous avez compris ça, vous êtes au top. Vous saurez parfaitement laquelle choisir chaque jour.
Et si vous pensez tout faire avec une seule, notez bien que vous vous fermez beaucoup de possibilités.
Pour information, je ride de 202 à 175 cm et je fais 1.86. A l’époque j’ai même ridé des pagaies de 2.50 et plus, voir des doubles de 4m !!!. En moyenne je suis en 190 avec gros volume de voilure.
En effet, le shape de la pagaie change vos besoins en longueur. En Select, voilure sans volume, je suis 15cm plus long dans les même conditions qu’avec une GONG Floater. Notez bien cela et cherchez des conseils d’experts pour ne pas vous tromper.
Pagaie de 160 cm pour un SUPer de 1.40 m à 1.46 m.
Pagaie de 165 cm pour un SUPer de 1.45 m à 1.53 m.
Pagaie de 170 cm pour un SUPer de 1.51 m à 1.59 m.
Pagaie de 175 cm pour un SUPer de 1.56 m à 1.64 m.
Pagaie de 180 cm pour un SUPer de 1.61 m à 1.68 m.
Pagaie de 185 cm pour un SUPer de 1.65 m à 1.73 m.
Pagaie de 190 cm pour un SUPer de 1.70 m à 1.78 m.
Pagaie de 195 cm pour un SUPer de 1.74 m à 1.82 m.
Pagaie de 200 cm pour un SUPer de 1.79 m à 1.87 m.
Pagaie de 205 cm pour un SUPer de 1.83 m à 1.92 m.
Pagaie de 210 cm pour un SUPer de 1.92 m et plus.
Pour une planche de 10’ à 12’, vagues classiques, ride polyvalent :
Pagaie de 155 cm pour un SUPer de 1.40 m à 1.46 m.
Pagaie de 160 cm pour un SUPer de 1.45 m à 1.53 m.
Pagaie de 165 cm pour un SUPer de 1.51 m à 1.59 m.
Pagaie de 170 cm pour un SUPer de 1.56 m à 1.64 m.
Pagaie de 175 cm pour un SUPer de 1.61 m à 1.68 m.
Pagaie de 180 cm pour un SUPer de 1.65 m à 1.73 m.
Pagaie de 185 cm pour un SUPer de 1.70 m à 1.78 m.
Pagaie de 190 cm pour un SUPer de 1.74 m à 1.82 m.
Pagaie de 195 cm pour un SUPer de 1.79 m à 1.87 m.
Pagaie de 200 cm pour un SUPer de 1.83 m à 1.92 m.
Pagaie de 205 cm pour un SUPer de 1.92 m et plus.
Pour une planche de 9’+, vagues creuses, ride performance :
Pagaie de 150 cm pour un SUPer de 1.40 m à 1.46 m.
Pagaie de 155 cm pour un SUPer de 1.45 m à 1.53 m.
Pagaie de 160 cm pour un SUPer de 1.51 m à 1.59 m.
Pagaie de 165 cm pour un SUPer de 1.56 m à 1.64 m.
Pagaie de 170 cm pour un SUPer de 1.61 m à 1.68 m.
Pagaie de 175 cm pour un SUPer de 1.65 m à 1.73 m.
Pagaie de 180 cm pour un SUPer de 1.70 m à 1.78 m.
Pagaie de 185 cm pour un SUPer de 1.74 m à 1.82 m.
Pagaie de 190 cm pour un SUPer de 1.79 m à 1.87 m.
Pagaie de 195 cm pour un SUPer de 1.83 m à 1.92 m.
Pagaie de 200 cm pour un SUPer de 1.92 m et plus.
Pour une planche de 6’ à 9’, vagues rapides, ride agressif :
Pagaie de 145 cm pour un SUPer de 1.40 m à 1.46 m.
Pagaie de 150 cm pour un SUPer de 1.45 m à 1.53 m.
Pagaie de 155 cm pour un SUPer de 1.51 m à 1.59 m.
Pagaie de 160 cm pour un SUPer de 1.56 m à 1.64 m.
Pagaie de 165 cm pour un SUPer de 1.61 m à 1.68 m.
Pagaie de 170 cm pour un SUPer de 1.65 m à 1.73 m.
Pagaie de 175 cm pour un SUPer de 1.70 m à 1.78 m.
Pagaie de 180 cm pour un SUPer de 1.74 m à 1.82 m.
Pagaie de 185 cm pour un SUPer de 1.79 m à 1.87 m.
Pagaie de 190 cm pour un SUPer de 1.83 m à 1.92 m.
Pagaie de 195 cm pour un SUPer de 1.92 m et plus.
Pour la longue distance sur une planche de 14’ épaisse :
Pagaie de 160 cm pour un SUPer de 1.40 m à 1.46 m.
Pagaie de 165 cm pour un SUPer de 1.45 m à 1.53 m.
Pagaie de 170 cm pour un SUPer de 1.51 m à 1.59 m.
Pagaie de 175 cm pour un SUPer de 1.56 m à 1.64 m.
Pagaie de 180 cm pour un SUPer de 1.61 m à 1.68 m.
Pagaie de 185 cm pour un SUPer de 1.65 m à 1.73 m.
Pagaie de 190 cm pour un SUPer de 1.70 m à 1.78 m.
Pagaie de 195 cm pour un SUPer de 1.74 m à 1.82 m.
Pagaie de 200 cm pour un SUPer de 1.79 m à 1.87 m.
Pagaie de 205 cm pour un SUPer de 1.83 m à 1.92 m.
Pagaie de 210 cm pour un SUPer de 1.92 m et plus.
Pour la longue distance sur une planche de 12’ fine :
Pagaie de 155 cm pour un SUPer de 1.40 m à 1.46 m.
Pagaie de 160 cm pour un SUPer de 1.45 m à 1.53 m.
Pagaie de 165 cm pour un SUPer de 1.51 m à 1.59 m.
Pagaie de 170 cm pour un SUPer de 1.56 m à 1.64 m.
Pagaie de 175 cm pour un SUPer de 1.61 m à 1.68 m.
Pagaie de 180 cm pour un SUPer de 1.65 m à 1.73 m.
Pagaie de 185 cm pour un SUPer de 1.70 m à 1.78 m.
Pagaie de 190 cm pour un SUPer de 1.74 m à 1.82 m.
Pagaie de 195 cm pour un SUPer de 1.79 m à 1.87 m.
Pagaie de 200 cm pour un SUPer de 1.83 m à 1.92 m.
Pagaie de 205 cm pour un SUPer de 1.92 m et plus.
1) le materiau (bois, carbone, fibre, alu, ou mix)
2) la discipline (race, balade ou vagues)
3) la taille du manche (+ 10, +20 + 30 cm de sa taille...)
4) la taille de la pale (8' pouces "S", 8,5' "M", 8,75' ou en cm2 653 cm2 etc)
Les précurseurs et références dans ce domaine ont comme toujours un regard avisé sur la technique et l'évolution de ce sport pour répondre à vos interrogations.
Quelle taille de pale de pagaie choisir?
Dave Shun boss de Kialoa:
"Je voudrais que les rameurs vérifient eux-même quelques notions importantes :
Après un long temps de rame, vous vous rendez compte que votre fréquence diminue. Vous aurez alors besoin soit d’une pale plus petite, soit d’un meilleur entrainement.
Si vous avez l’impression que votre pagaie traverse l’eau en faisant des bruits de turbulence, c’est que soit votre pale est trop petite, soit votre technique est insuffisante…
Ces deux situations montrent que la vitesse à laquelle avance votre planche est en effet en relation avec la surface de la pale, mais de façon INVERSE !
Inverse ?
Je m’explique :
Si votre planche a une vitesse de carène élevée, vous pouvez utiliser une grosse pale, grâce aux effets de l’inertie.
Dans le cas contraire, une pale plus petite est plus efficace.
Pour résumer, la taille de la pale ne vous fera pas aller PLUS VITE ! Une bonne technique de rame est beaucoup plus importante…"
Alors, comment choisir sa pagaie ?
Je pense qu’il serait plus malin de la choisir après une bonne heure de rame au moins. Si vous êtes explosé, c’est que la pale est trop grosse
Avez-vous des conseils techniques à nous donner ?
La phase de propulsion du coup de pagaie est duelle : douce et forte à la fois. La pale doit rester aussi immobile que possible pendant la phase de propulsion, ce qui veut dire que vos épaules doivent « verrouiller ». La puissance vient des hanches, des jambes, des muscles de gainage profonds (NdA : core muscles).
En Outrigger, quand j’ai trouvé ma position, mon grip est si fort que j’ai la sensation que je pourrais me tenir debout au sommet de ma pagaie sans pouvoir l’enfoncer dans l’eau
Kialoa est bien connu des SUPers pour ses pagaies « surf », mais peut-être avez-vous un modèle « race » en préparation ?
En effet, Chuck Patterson et moi avons juste commencé à travailler sur un prototype de pagaie « race », que nous testerons cet été. Sortie espérée fin 2010.
Le SUP est un sport vraiment nouveau, et les normes d’équipement restent à définir. D’ailleurs la distinction entre « surf » et « race » est un peu artificielle, car en réalité les pagaies fonctionnent dans les deux activités. Chuck a couru avec la Shaka Puu, il trouve la Nalu trop grosse, sauf pour le downwind."
http://u-ride.net/news-windsurf/interview-dave-chun-boss-de-kialoa.html
Selon Patrice Guénolé, Boss de GONG depuis 2008..
"Nous vous recommandons de choisir les tailles de vos pagaies suivant la charte de correspondance ci-dessous.
Voici quelques conseils complémentaires :
Généralement, un petit gabarit sera plus à l’aise dans la partie haute de la fourchette de la charte. L’inverse pour un grand.
Une pagaie plus courte par rapport à cette recommandation apporte plus de maniabilité en surf car elle permet de mettre plus d’angle à la planche dans les courbes et de réduire les rayons de courbes en raccourcissant la distance au point d’appuis.
Dans les vagues creuses, il faut rider des pagaies plus courtes pour réduire les rayons de virages, être plus proche de la paroi dans les tubes et pouvoir la manier plus vite et avec moins d’inertie.
Une pagaie courte demande plus de fréquence de rame mais épargne les épaules.
Une pagaie plus courte est aussi recommandée pour des planches plus courtes et moins épaisses que les planches de débutants. La fourchette donnée ci dessous est valable pour une planche de 12’ assez épaisse type NFA. Il faut retrancher environ 3 à 5 cm par pied en moins. Par exemple, un SUPer de 1.85 m ridera en 200 cm sur une 11’ à 12’, en 195 sur une 10’, en 190 sur une 9’, en 185 sur une petite planche inférieure à 8’. Il est donc fréquent de ramer avec une pagaie de longueur égale à sa taille lorsqu’on ride sur des planches très courtes et dans des vagues creuses.
La longueur de la pagaie est aussi liée au rapport taille du rider / largeur de la planche. Un petit a donc besoin d’une pagaie proportionnellement plus grande quand il utilise un SUP standard. Inverse pour un très grand qui diminuera la longueur de pagaie relative. En effet, plus on est grand et plus on peut ramer au dessus du rail. Le shaft est moins en X par rapport à la verticale et on a donc naturellement moins besoin de longueur. Un petit (ou quelqu’un qui utilise une planche très large) aura besoin de plus de longueur pour "faire le tour" de la planche car le shaft sera forcément en X. C’est par exemple ce que l’on constate quand on ride des planches très très courtes et larges. Comme elles sont courtes on a tendance à prendre une pagaie plus petite mais c’est sans compter avec la largeur qui impose de rester assez long.
Une pagaie courte est idéale pour les conditions ventées, surtout le on shore.
Une pagaie courte offre des parcours de voilure plus courts. Il faut donc ramer plus violemment. C’est très efficace sur de courtes distances mais dur pour le dos à la longue.
Une pagaie longue évite les coups dans les rails de la planche quand on débute.
Une pagaie longue fait moins mal au dos aux débutants car ils sont obligés de ramer avec une attitude bien droite. En revanche, s’ils vont chercher trop loin derrière en fin de mouvement, ils auront plus mal au dos... Rappelons qu’on rame du nose à ses talons, rarement derrière.
Une pagaie longue apporte des appuis forts et de la puissance au démarrage.
Une pagaie longue apporte de la stabilité car elle favorise des appuis longs et parce qu’elle est plus lourde.
Une pagaie longue force plus sur l’avant de l’épaule, les pectoraux, les portions hautes des trapèzes et donc la nuque. Veillez à ramer proprement et bien vous étirer et vous hydrater pour éviter les soucis. Pensez aussi à baisser les épaules quand vous ramez car avec une pagaie longue on a tendance à hausser les épaules et reporter les efforts sur la nuque.
Plus une pagaie est longue plus elle renforce le "row effect", donc plus il est difficile de ramer droit sans changer de main.
Il faut impérativement avoir plusieurs pagaies dans son quiver : pour palier à une casse et pour s’adapter aux conditions et économiser ses épaules.
La matière de la pagaie n’a pas ou peu d’influence sur la taille préconisée.
Eléments de réflexion :
Voici quelques points de réflexion qui peuvent vous apporter des éléments. Texte issu des propos de Patrice Guénolé sur le forum GONG SUP."A mon sens, l’avenir ne va pas que dans un sens. Bien au contraire, l’avenir est très multiple au sujet des pagaies.
Il faut en premier lieu qu’elle s’adapte au programme :
une pagaie de surf doit avoir une pale énorme et un shaft court et raide à la mort
une pagaie polyvalente aura moins de surface et un shape plus élancé
une pagaie de progression aura beaucoup de volume au regard de sa surface et un shaft très doux
une pagaie de LD sera hyper nerveuse avec une répartition du dynamisme dans le shaft très étudiée et un volume de voilure minimum au regard de sa surface qui elle sera généralement importante et liée au gabarit et surtout à la puissance physique du rider.
Aujourd’hui on me demande deux pagaies :
les gars qui SUPent depuis deux ans et plus en surf veulent des voilures de grande surface
les autres veulent le plus souvent une voilure très petite.
C’est un pur constat.
Dans ma découverte du SUP, j’ai eu les mêmes envies. En effet, la rame se construit, c’est quelque chose qui s’apprend et autour duquel notre corps s’adapte. Ca ne se fait donc pas en un jour.
Au début, on a besoin de surface pour trouver de l’équilibre par l’appuis. Ensuite on veut de la cadence pour aller plus vite sans forcer plus. Et après on veut de la puissance pure pour une réactivité maximale. (Tout ceci pour une pratique surf).
Cela correspond souvent à une évolution de la technique de rame en lien direct avec celle de surf, une modification des objectifs, et une évolution des performances physiques.
A ce sujet, on constate qu’en phase 1, celle de la découverte, les jambes et le haut du dos bossent fort. En phase deux, progression, on vérrouille tous les rotateurs. Le corps se fige contre la torsion (plus d’obliques, de fixateurs jambes/hanches/dos). En phase 3, le corps apprend a se délier à bon escient. On contracte juste ce qu’il faut quand il faut et le reste du corps est détendu pour aller chercher de l’extension. Ces phénomènes sont primordiaux dans l’analyse de la rame et donc le choix de la pagaie.
Physiquement, la phase 1 est celle des courbatures, du mal de nuque, des épaules douloureuses.
La phase 2 est celle de la barre dans le dos, des trucs bizarres dans le ventre et du mal de genoux.
La phase 3 suit une tension extreme du dos et des muscles postérieurs : les fesses en béton, les ischios, les mollets, la chaine des paravertébraux ultra tendus, etc... Tout ce qui retient le corps dans sa chute en avant à l’immersion de la pagaie est ultra sollicité en fin de phase 2. Il est temps de retrouver de l’appui pour aller chercher une extension complete et un équilibre dans les tensions entre les deux trajets de voilure : immergé et aérien. En effet, si on sait que l’appui à l’immersion va être franc, on pourra jeter le corps en avant avec moins de retenue. Du coup on pourra aller chercher plus loin devant et tirer plus loin derrière.
Du point de vue de la technique de rame :
la phase 1 est celle des essais/erreurs. Tout est bon pour s’en sortir.
la phase 2 est celle du trajet court. On va chercher moins loin et on sort plus tôt (aux pieds en général). On augmente la cadence de rame. On fait beaucoup de choses dans un espace/temps réduit. L’équilibre est meilleur et on gagne en vivacité.
la phase 3 est celle où on gomme les repères pour chercher plus de performances. On augmente fortement les trajets, on ralentit les passages immergés, on focalise sur l’accélération. C’est une phase où on se crée des réserves de vitesse et de puissance. Les phases 1 et 2 sont acquises, donc à tout moment on revient sur ces savoirs anciens pour s’adapter. En cas de fatigue par exemple, on va revenir sur une technique de phase 2, voir 1.
Rien n’est figé. Il faut suivre cette évolution globale du corps, de la technique et du quiver.
La phase 4 :
C’est celle qui nous rapproche de l’eau vive.
Sur un SUP de 5’, hors de question de ramer comme sur une 8’. Il y a un monde entre les deux, tout comme en surf classique.
Physiquement, l’effort est énorme. Les appuis sont à la fois fermes et dosés. Les vérrouillages rotatifs sont extremes. La phase de rame est d’une complexité folle et donc génératrice de fortes tensions qui doivent instantanément s’effacer dès le take off.
La technique de la phase 4 est d’une précision extreme et utilise TOUTES les techniques en même temps. On rame en ligne, en S, en C, à 45°, très immergé, très court ou très long selon... C’est très complexe mais ça marche.
Peu de gens sont arrivés à cette phase.
Pour conclure, je voudrais dire que mon rôle de précurseur est de baliser le chemin de ceux qui entrent dans ce sport puis de les accompagner au mieux, simplement en leur disant ce que nous avons rencontré dans notre découverte de ce sport magnifique. Chacun fait selon ses feelings et se construit son surf.
Il n’y a aucune règle, juste de l’adaptation à une évolution du sport et de chacun.
PS : les longueurs de pagaies :
Certains essayent en vain de démontrer des règles de calcul imparables. Je voudrais dire que c’est viable à condition de l’adapter aux 4 phases citées ci dessus.
En effet, on constate que dans la phase 1 les gens rament mieux long et lourd.
Dans la phase 2, ils rament un peu plus court et beaucoup plus light.
Dans la phase 3, ils rament très court et moins light.
Dans la phase 4, ils rament un peu plus long que dans les extremes de la phase 3, plus light et moins raide.
En conclusion de la conclusion, mon sentiment est que seul un quiver permet une progression rapide et optimale. C’est mon job de dire cela mais c’est avant tout mon constat de SUPeur." L’Ours
FAQ :
"J’ai pu voir sur tes supers photos que tu utilises une pagaie qui fait seulement 4 cm de plus que ta taille voire carèment ta taille si je ne me trompes pas avec la 7’7 nanogène ! Peux tu expliquer quels sont les avantages et inconvénients d’une si petite différence même avec un sup court ?"La réponse de l’Ours :
"Plus ta pagaie est courte, plus tes courbes sont serrées. Donc en fonction de ce que tu veux faire, tu adaptes la taille de ta pagaie.
Par exemple, si une planche peut tourner très court et que tu rides avec une pagaie "longue" tu vas être géné. Tu auras l’impression de rentrer dans la pagaie dans les bottoms, de devoir trop la lever pour les rollers etc... En plus, tu vas être obligé de mettre voilure très en arrière de toi pour compenser et tu auras du coup des appuis très en arrière d’où des cabrages intempestifs et un manque de vitesse et d’accélération ! pas glop et pas facile à comprendre seul sur un spot.
Autre exemple, si tu as une pagaie trop courte sur un planche longue, tu auras sans cesse l’impression de tomber dans le bottom, tu appuieras trop sur la voilure, tu vas rater tes rollers en ne prenant pas assez d’eau. En plus la planche ne suivra pas le rythme que demande la pagaie.
Autre élément important, la gestion de la trim line. Généralement, avec une grande planche on est assez bas dans la vague, donc plus loin d’elle, donc on a besoin d’une pagaie plus longue pour la caler dans la face. Avec une planche plus courte c’est l’inverse, on est plus haut dans la vague ou plus serré dans les courbes donc on a besoin d’une pagaie courte pour ne pas être débordé par la pagaie et surtout ne pas se mettre en descente dès qu’on se pose sur la voilure.
Les conditions du jour peuvent aussi vous imposer une pagaie de taille spécifique. Une vague dans laquelle il faut sans cesse relancer sera mieux ridée avec une pagaie courte car on va chercher à rester haut dans la vague. Une vague tubulaire demande une pagaie très courte pour pouvoir se caler dedans avec tout ce bazar en gardant une trajectoire libre et haute.
Dans des vagues longues et molles, une pagaie plus longue fera la différence en amplifiant vos courbes et en vous permettant des appuis forts et souples.
Il faut vraiment penser les pagaies comme les planches !
Une pagaie courte est un shortboard. Une pagaie longue est un longboard. Si vous avez compris ça, vous êtes au top. Vous saurez parfaitement laquelle choisir chaque jour.
Et si vous pensez tout faire avec une seule, notez bien que vous vous fermez beaucoup de possibilités.
Pour information, je ride de 202 à 175 cm et je fais 1.86. A l’époque j’ai même ridé des pagaies de 2.50 et plus, voir des doubles de 4m !!!. En moyenne je suis en 190 avec gros volume de voilure.
En effet, le shape de la pagaie change vos besoins en longueur. En Select, voilure sans volume, je suis 15cm plus long dans les même conditions qu’avec une GONG Floater. Notez bien cela et cherchez des conseils d’experts pour ne pas vous tromper.
Chartes de tailles :
Pour une planche de 12’, vagues molles, ride hyper tranquille et fluide voir old school :Pagaie de 160 cm pour un SUPer de 1.40 m à 1.46 m.
Pagaie de 165 cm pour un SUPer de 1.45 m à 1.53 m.
Pagaie de 170 cm pour un SUPer de 1.51 m à 1.59 m.
Pagaie de 175 cm pour un SUPer de 1.56 m à 1.64 m.
Pagaie de 180 cm pour un SUPer de 1.61 m à 1.68 m.
Pagaie de 185 cm pour un SUPer de 1.65 m à 1.73 m.
Pagaie de 190 cm pour un SUPer de 1.70 m à 1.78 m.
Pagaie de 195 cm pour un SUPer de 1.74 m à 1.82 m.
Pagaie de 200 cm pour un SUPer de 1.79 m à 1.87 m.
Pagaie de 205 cm pour un SUPer de 1.83 m à 1.92 m.
Pagaie de 210 cm pour un SUPer de 1.92 m et plus.
Pour une planche de 10’ à 12’, vagues classiques, ride polyvalent :
Pagaie de 155 cm pour un SUPer de 1.40 m à 1.46 m.
Pagaie de 160 cm pour un SUPer de 1.45 m à 1.53 m.
Pagaie de 165 cm pour un SUPer de 1.51 m à 1.59 m.
Pagaie de 170 cm pour un SUPer de 1.56 m à 1.64 m.
Pagaie de 175 cm pour un SUPer de 1.61 m à 1.68 m.
Pagaie de 180 cm pour un SUPer de 1.65 m à 1.73 m.
Pagaie de 185 cm pour un SUPer de 1.70 m à 1.78 m.
Pagaie de 190 cm pour un SUPer de 1.74 m à 1.82 m.
Pagaie de 195 cm pour un SUPer de 1.79 m à 1.87 m.
Pagaie de 200 cm pour un SUPer de 1.83 m à 1.92 m.
Pagaie de 205 cm pour un SUPer de 1.92 m et plus.
Pour une planche de 9’+, vagues creuses, ride performance :
Pagaie de 150 cm pour un SUPer de 1.40 m à 1.46 m.
Pagaie de 155 cm pour un SUPer de 1.45 m à 1.53 m.
Pagaie de 160 cm pour un SUPer de 1.51 m à 1.59 m.
Pagaie de 165 cm pour un SUPer de 1.56 m à 1.64 m.
Pagaie de 170 cm pour un SUPer de 1.61 m à 1.68 m.
Pagaie de 175 cm pour un SUPer de 1.65 m à 1.73 m.
Pagaie de 180 cm pour un SUPer de 1.70 m à 1.78 m.
Pagaie de 185 cm pour un SUPer de 1.74 m à 1.82 m.
Pagaie de 190 cm pour un SUPer de 1.79 m à 1.87 m.
Pagaie de 195 cm pour un SUPer de 1.83 m à 1.92 m.
Pagaie de 200 cm pour un SUPer de 1.92 m et plus.
Pour une planche de 6’ à 9’, vagues rapides, ride agressif :
Pagaie de 145 cm pour un SUPer de 1.40 m à 1.46 m.
Pagaie de 150 cm pour un SUPer de 1.45 m à 1.53 m.
Pagaie de 155 cm pour un SUPer de 1.51 m à 1.59 m.
Pagaie de 160 cm pour un SUPer de 1.56 m à 1.64 m.
Pagaie de 165 cm pour un SUPer de 1.61 m à 1.68 m.
Pagaie de 170 cm pour un SUPer de 1.65 m à 1.73 m.
Pagaie de 175 cm pour un SUPer de 1.70 m à 1.78 m.
Pagaie de 180 cm pour un SUPer de 1.74 m à 1.82 m.
Pagaie de 185 cm pour un SUPer de 1.79 m à 1.87 m.
Pagaie de 190 cm pour un SUPer de 1.83 m à 1.92 m.
Pagaie de 195 cm pour un SUPer de 1.92 m et plus.
Pour la longue distance sur une planche de 14’ épaisse :
Pagaie de 160 cm pour un SUPer de 1.40 m à 1.46 m.
Pagaie de 165 cm pour un SUPer de 1.45 m à 1.53 m.
Pagaie de 170 cm pour un SUPer de 1.51 m à 1.59 m.
Pagaie de 175 cm pour un SUPer de 1.56 m à 1.64 m.
Pagaie de 180 cm pour un SUPer de 1.61 m à 1.68 m.
Pagaie de 185 cm pour un SUPer de 1.65 m à 1.73 m.
Pagaie de 190 cm pour un SUPer de 1.70 m à 1.78 m.
Pagaie de 195 cm pour un SUPer de 1.74 m à 1.82 m.
Pagaie de 200 cm pour un SUPer de 1.79 m à 1.87 m.
Pagaie de 205 cm pour un SUPer de 1.83 m à 1.92 m.
Pagaie de 210 cm pour un SUPer de 1.92 m et plus.
Pour la longue distance sur une planche de 12’ fine :
Pagaie de 155 cm pour un SUPer de 1.40 m à 1.46 m.
Pagaie de 160 cm pour un SUPer de 1.45 m à 1.53 m.
Pagaie de 165 cm pour un SUPer de 1.51 m à 1.59 m.
Pagaie de 170 cm pour un SUPer de 1.56 m à 1.64 m.
Pagaie de 175 cm pour un SUPer de 1.61 m à 1.68 m.
Pagaie de 180 cm pour un SUPer de 1.65 m à 1.73 m.
Pagaie de 185 cm pour un SUPer de 1.70 m à 1.78 m.
Pagaie de 190 cm pour un SUPer de 1.74 m à 1.82 m.
Pagaie de 195 cm pour un SUPer de 1.79 m à 1.87 m.
Pagaie de 200 cm pour un SUPer de 1.83 m à 1.92 m.
Pagaie de 205 cm pour un SUPer de 1.92 m et plus.
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